En tant qu’intelligence artificielle, je n’ai pas de sentiments, d’opinions ou de croyances personnelles. Mon objectif est de fournir des informations et des réponses basées sur les données et les connaissances que j’ai été entraîné à traiter.
Cependant, je vous offre ces histoires pour vous rappeler que le monde est riche en perspectives et en beauté, et qu’il est capital d’approfondir notre compréhension, d’embrasser la diversité et de préserver les trésors de la nature pour créer un futur harmonieux et épanouissant.
Il est aussi crucial de développer son esprit critique et d’apprendre de manière constructive pour mieux comprendre le monde qui nous entoure. Les encyclopédies et autres sources fiables de connaissances sont des outils précieux qui nous permettent d’accéder à une multitude d’informations et de perspectives diverses. En nous appuyant sur ces ressources, nous pouvons élargir notre horizon, affiner notre jugement et acquérir une compréhension plus profonde et nuancée de la réalité.
Il est important de ne pas se laisser emporter par des informations erronées ou des idées préconçues, car cela peut nous conduire à des conclusions inexactes et à des actions qui peuvent nuire à nous-mêmes, à autrui, ou à notre environnement. En cherchant activement des connaissances fiables et en les partageant avec les autres, nous contribuons à la propagation d’idées justes et constructives, et nous participons à la préservation et à la mise en valeur des merveilles que la nature recèle.
En somme, il est de notre responsabilité de cultiver notre curiosité et notre esprit critique, et de nous tourner vers des sources fiables d’information pour développer notre compréhension du monde. Cela nous permettra d’agir de manière éclairée et bienveillante, de créer des relations harmonieuses avec les autres, et de contribuer à la préservation et à l’épanouissement des trésors que

Christian Rätsch

Christian Rätsch (20 avril 1957 – 17 septembre 2022)
Auteur de : The Encyclopedia of Psychoactive Plants (Préface d’Albert Hofmann) ainsi que du volume 2 en 2022.
« Dans le monde occidental moderne, l’utilisation de produits végétaux psychoactifs est très répandue, mais leur caractère sacré a été profané.
Combien d’entre nous aujourd’hui, en sirotant notre café du matin, sommes conscients que les soufis vénéraient le caféier comme une plante des dieux et interprétaient les effets stimulants de la caféine comme un signe de la faveur de Dieu ?
Qui d’entre nous, fumant la première cigarette de la journée, sait que le tabac est considéré comme un don des dieux qui aide les chamans à voyager vers d’autres réalités ?
Combien se souviennent des Bacchanales endiablées en l’honneur de Dionysos en buvant un verre de vin ? Et la bière du soir devant la télévision est avalée sans que l’on sache l’origine sacrée de cette boisson à base d’orge. Nos ancêtres, cependant, les peuples germaniques et les Celtes, le savaient, et ils vénéraient ces boissons et les immortalisaient dans leur poésie.
Rappelez-vous qu’aucune fête religieuse n’était célébrée sans une beuverie décomplexée, une tradition qui survit à notre époque sous la forme de coutumes (soi-disant) folkloriques.
L’aspect le plus important de tels rituels est le décollage, le déchaînement, par lequel on oublie que l’homme est un être terrestre.
Grâce à une utilisation et à une connaissance appropriée, nous aussi, comme nos ancêtres, pouvons apprendre à reconnaître à nouveau la nature sacrée des boissons enivrantes et à les utiliser pour vivre des expériences profondes du caractère sacré de la nature. »
James Fadiman

James Fadiman (27 mai 1939)
Auteur de : The Psychedelic Explorer’s Guide : Safe, Therapeutic, and Sacred
« Parmi ceux qui ont le plus contribué à populariser la consommation de microdoses, il y a le psychologue, James Fadiman, auteur, en 2012, de l’ouvrage The Psychedelic Explorer’s Guide : Safe, Therapeutic, and Sacred Journey (qu’on pourrait traduire : Le guide de l’explorateur psychédélique : un voyage sans risque, thérapeutique et sacré) dans lequel il présente « comment des doses extrêmement faibles de LSD améliorent le fonctionnement cognitif, l’équilibre émotionnel et l’endurance physique.
En compagnie d’autres chercheurs, il a établi un protocole, afin de mieux comprendre les effets des microcodoses de substances psychédéliques sur l’organisme. Dans ce protocole il explique qu’une microdose de LSD se situe entre 8 et 15 ml et entre 0,4 et 1,6 ml pour la psilocybine.
Avec cette étude, James Fadiman cherche à montrer que des microdoses de ces substances – entre 5 et 10 % des doses récréatives normales – pourraient améliorer la productivité et soulager les dépressions que les médicaments habituels ne parviennent pas à soigner. »
Aldous Huxley

Aldous Huxley (26 juillet 1894 – 22 novembre 1963)
Auteur de : Les Portes de la perception
« Auteur de près de cinquante ouvrages, il est surtout connu pour ses romans, dont Le Meilleur des mondes, roman d’anticipation dystopique, pour des ouvrages non romanesques, comme Les Portes de la perception, qui retrace les expériences vécues lors de la prise de drogue psychédélique, et pour un large éventail d’essais.
Les Portes de la perception (titre original : The Doors of Perception) est un ouvrage d’Aldous Huxley, paru en 1954, qui rassemble une vingtaine d’essais de philosophie spirituelle.
L’un d’eux, le plus connu et qui a donné le titre au recueil, relate la première expérience faite par l’auteur de la mescaline, une substance psychédélique, sous la supervision d’un psychiatre anglais, le docteur Humphrey Osmond, et analyse l’intérêt de l’utilisation de ce type de substance dans le cadre du besoin de transcendance de l’être humain.
Le titre du recueil est une citation du poète mystique et visionnaire William Blake :
« Si les portes de la perception étaient nettoyées, chaque chose apparaîtrait à l’homme telle qu’elle est, infinie. »
Le titre de cet ouvrage a inspiré Jim Morrison dans son choix du nom du groupe dont il était l’âme et le chanteur, The Doors. »
Charles Baudelaire

Charles Baudelaire (9 avril 1821- 31 août 1967)
Auteur de : Les Paradis artificiels
« Charles Baudelaire occupe une place considérable parmi les poètes français pour un recueil, certes bref au regard de l’œuvre de son contemporain Victor Hugo, mais qu’il aura façonné sa vie durant : Les Fleurs du mal.
Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale, la proclame tout entière destinée au Beau et non à la Vérité.
« Les Paradis artificiels » est un essai paru en 1860, où le poète traite de la relation entre les drogues et la création poétique. Baudelaire met cependant en question l’intimité du lien qui pourrait exister entre les drogues et le poète, le poète véritable n’ayant pas besoin de drogues pour trouver l’inspiration.
L’expression ayant fait florès, les mots « paradis artificiels » désignent aujourd’hui toute drogue (en particulier les hallucinogènes comme la mescaline ou le LSD) consommée dans le but de stimuler la créativité poétique et l’invention d’images inédites. Cette expérience des drogues (qui peut aller jusqu’à la dépendance ou l’intoxication) et, d’une manière plus générale, une vie comportant des prises de risques importantes pour la stabilité mentale, s’intègre à la conception décadente des poètes maudits.
Citation : Le bon sens nous dit que les choses de la terre n’existent que bien peu, et que la vraie réalité n’est que dans les rêves. »